Championnat d'Espagne

Oué c'est clair!!!!!!!je l'ai vu ce matin !!!!!!
Il dribble plein de defenseurpuis le gardien!!!!!

incroyabke il me rappelle diego armando maradona

http://4.upload.dailymotion.com/tag/but/video/x1rbk0_but-messi-getafe-dribble-toute-la-d
Voila le lien

Enorme .!!!Merci

il peut mettre des buts magnifiques, le titre ira à Bernabeù

Nouveau leader au classement des buteurs de la Liga, Ruud Van Nistelrooy est l'un des grands artisans du retour du Real Madrid. Alors qu'il dispute sa première saison dans la capitale espagnole, le Néerlandais a quasiment déjà fait oublier Ronaldo.

Ce n'est pas la même ambiance qu'à Old Trafford, quand les fans de Manchester United scandaient "Ruuuuuuud" à pleine voix pour célébrer leur buteur fétiche. Mais cela n'empêche pas les spectateurs du stade Santiago-Bernabeu d'apprécier le talent du néerlandais à sa juste valeur. A Madrid, peut-être la ville qui a vu passer le plus de grands joueurs dans l'histoire du football, Van Nistelrooy est en passe de laisser lui aussi sa trace. Alors que le Real connaît une saison plutôt moyenne, avec une élimination précoce en Ligue des Champions et un jeu qui n'a enchanté son public qu'à de rares occasions, le buteur néerlandais justifie pour sa part les attentes placées en lui en début de saison. Et il pourrait bien offrir un titre de champion d'Espagne à des Merengue qui n'y croyaient plus il y a encore un mois.

Car Van Nistelrooy est tout simplement irrésistible en ce moment. Après avoir inscrit un but décisif pour offrir la victoire aux siens face à Valence (2-1), le Néerlandais a encore fait parler la poudre avec un doublé sur la pelouse de l'Athletic Bilbao pour un nouveau succès (1-4) avant de récidiver lors du choc remporté à Bernabeau face à Séville (3-2). Cinq buts en trois semaines, au moment le plus important de la saison, qui lui ont permis de s'installer en tête du classement des buteurs avec 20 réalisations en 32 matches. Où comment justifier les 15 millions d'euros mis sur la table par les dirigeants madrilènes pour arracher le buteur néerlandais à Manchester United l'été passé.

Pour en arriver là, Van Nistelrooy a souffert. Au sein d'une équipe critiquée tout au long de la saison, l'ancien joueur du PSV Eindhoven s'est rapidement retrouvé seul en attaque. Raùl en méforme, Antonio Cassano et Ronaldo régulièrement écartés de l'équipe première, Robinho encore un peu tendre, il a longtemps porté à lui tout seul les ambitions offensives du Real Madrid. Et le départ de Ronaldo pour le Milan AC lors du mercato ne lui a pas ôté toute pression, bien au contraire. Mais le Néerlandais en a vu d'autres, et son expérience mancunienne a été précieuse pour lui permettre de faire face à cette situation délicate. Et si Manchester United ne regrette pas d'avoir transféré le grand Ruud, le Real se frotte les mains de l'avoir récupéré aujourd'hui. En attendant peut-être de savourer un titre de champion d'Espagne qui le fuit depuis 2003

Critiqué une large partie de la saison, le Real Madrid a pris la tête du classement de la Liga grâce à sa victoire face à l'Espanyol Barcelone (4-3). A l'image du succès acquis face aux Catalans, qui ont longtemps mené au score, les Merengue manifestent une force de caractère insoupçonnée.

On ne connaissait pas ce Real Madrid. Alors que le club merengue a été critiqué sur l'ensemble de la saison pour sa fragilité défensive et son manque de combativité, les hommes de Fabio Capello ont trouvé des vertus morales au meilleur moment de la saison. Vainqueurs de l'Espanyol Barcelone (4-3) samedi après avoir été menés 1-3 à la mi-temps, ils ont su renverser la vapeur pour aligner un quatrième succès consécutif en Liga. Et détrôner le rival de toujours, Barcelone, pour s'installer en tête du classement pour la première fois de la saison, à quatre journées de la fin. Rien n'est acquis pour le Real, à égalité de points avec le club catalan mais leader grâce à un meilleur goal-average particulier face à la formation de Frank Rijkaard (victoire 2-0 à l'aller, match nul 3-3 au retour). Mais Capello a atteint une partie de son objectif en trouvant un collectif qui lui a longtemps fait défaut cette saison. Logiquement d'ailleurs.
Plus que jamais, le Real Madrid avait animé le marché des transferts l'été dernier en remaniant une grande partie de son effectif. Avec les arrivées de Fabio Cannavaro, Emerson, Mahamadou Diarra, Ruud Van Nistelrooy, le tout encadré par un nouvel entraîneur, Fabio Capello, l'équipe madrilène avait de quoi faire saliver sur le papier malgré le départ à la retraite de Zinédine Zidane. Mais l'entraîneur italien, si brillant soit-il, ne pouvait pas transformer cette somme d'individualités en un collectif solide d'un seul coup de baguette magique. Même s'il n'a jamais quitté le top 5 du classement de la Liga depuis la deuxième journée, le Real n'avait jamais donné l'impression de pouvoir rivaliser avec le Barça dans la course au titre.
Une force mentale
La donne a changé depuis le mois d'avril. Sorti par la petite porte de la Ligue des Champions après avoir subi la loi du Bayern Munich, éliminé de la Copa del Rey, mis sous tension par la démission de Capello refusée par les dirigeants merengue, le Real a su se mobiliser quand on imaginait déjà son explosion. Avec à la clé une série de quatre victoires consécutives, dont deux face à des rivaux directs dans la course au titre, Valence (2-0) et le FC Séville (3-2). La confiance est revenue à Madrid, à l'image d'un Ruud Van Nistelrooy particulièrement prolifique en cette fin de saison. Le Néerlandais a en effet frappé six fois au cours de cette série victorieuse pour prendre la tête du classement des buteurs avec 21 réalisations.
S'il a largement contribué à la prise de pouvoir de son club, d'autres facteurs expliquent cependant la montée en puissance de l'équipe de Capello. L'entraîneur italien peut en effet compter sur un collectif désormais solide malgré quelques lacunes défensives, mais surtout capable de retourner des situations grâce à des ressources morales insoupçonnées. "J'ai vraiment apprécié le caractère dont l'équipe a fait preuve et son enthousiasme pour renverser le match. C'est dans ces moments là qu'on peut se convaincre de gagner tous les matches. C'est notre but", a déclaré Capello après la victoire sur l'Espanyol. On imagine le soulagement de l'Italien, au bord de la démission en mars car découragé par le manque d'adhésion de ses joueurs à son discours. Celle-ci est désormais en mesure d'apporter un 30e titre de champion au club merengue. Par un jeu toujours offensif, mais surtout au mental.

faut pas lacher viva real!!!

Barça: Giuly partant "à 80%"
Ludovic Giuly, devrait quitter Barcelone en fin de saison, un an avant la fin de son contrat, a-t-on appris jeudi auprès de son père, qui s'occupe de ses affaires.

"Ludovic a eu un entretien avec Frank Rijkaard. Il y a 80% de chances qu'il quitte le Barça", a déclaré Dominique Giuly. Marseille s'est renseigné et il y a eu un contact avec José Anigo. onaco a également fait part de son intérêt. Deux clubs italiens, la Fiorentina et la Juventus Turin, se sont également manifestés".

oui il a été formé a madrid (real) mais pas assez bon pour y jouer

bon choix de rio

Oui Rio signe a Villareal tout a fait raison !

Pires va pas mal l'aider !

Je suis pour le Barca