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 John Williams, le roi des films cultes

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T-Flo
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T-Flo


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MessageSujet: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitimeLun 23 Avr 2007 - 21:21

Voila la carriere by Wikipedia de cet immense Artiste!
Fils d'un percussionniste, pour CBS Radio et dans le Raymond Scott Quintet, il découvre très tôt la musique et dès quinze ans mène déjà son propre groupe de jazz et s'essaie à l'arrangement ; déterminé à faire carrière, il crée à 19 ans sa première œuvre, une sonate pour piano.
Il rejoint l'UCLA et le Los Angeles City College ; il étudie l'orchestration avec Robert van Eps, de la MGM, et auprès de Mario Castelnuovo-Tedesco, et profite de trois ans à l'US Air force pour diriger. Il suit ensuite l'enseignement de Rosina Lhevinne, à la Juilliard School, afin de perfectionner ses talents de pianiste. Il vit alors de ses cachets de pianiste de jazz, mais elle l'encourage à se consacrer à l'écriture. Il retourne dès lors à Los Angeles.
À Hollywood, il commence comme pianiste de studio, et il accompagne des séries TV, comme Peter Gunn (1958), South Pacific (1958), Some Like It Hot (1959), The Apartment (1960), et To Kill a Mockingbird (1962) ; Il se lie d'amitié avec Bernard Herrmann, le compositeur d'Hitchcock. Puis, à 24 ans, il intègre l'équipe d'arrangeurs de la Columbia, puis de la 20th Century Fox où il travaille pour Alfred Newman et Lionel Newman, Dimitri Tiomkin, Franz Waxman, et d'autres compositeurs de l'Âge d'Or. Parallèlement, il travaille avec Vic Damone, Doris Day, et Mahalia Jackson, et rencontre Barbara Ruick, actrice et chanteuse qu'il épouse.
Son travail d'arrangeur lui ouvre les portes de l'écriture, et il commence a écrire pour la télévision : Alcoa Premiere (1961), Checkmate (1960), Gilligan's Island (1964), Lost in Space (1965), Land of the Giants (1968), et surtout Heidi (1968) (TV) et Jane Eyre (1970), qui lui vaudront d'être récompensé aux Emmy Awards.
Il passe ensuite au cinéma, avec Daddy-O (1959) et Because They're Young (1960), ce qui le confine pour un temps aux comédies. Mais grâce à William Wyler et son How to Steal a Million (1966), il s'ouvre les portes de projets plus ambitieux. Il continue pourtant les arrangements, et gagne son premier Oscar en 1971, pour son adaptation de Fiddler on the Roof (1971).
Il consacre alors les années 1970 aux films catastrophes : l'Aventure du Poseidon (The Poseidon Adventure, 1972), Tremblement de terre (Earthquake, 1974) et la Tour infernale (The Towering Inferno, 1974). Toutefois, c'est son travail, particulièrement innovant sur Images (1972) et Reivers (The Reivers, 1969) qui impressionne Steven Spielberg qui prépare alors son premier film, Sugarland Express (The Sugarland Express, 1974).
Avec les Dents de la mer (1975), qui lui fait gagner son second Oscar de la meilleure musique de film, Williams devient un compositeur de premier plan ; les deux hommes ne se sépareront plus, établissant la plus formidable équipe du cinéma :
2 films parmi les 10 plus grands succès des années 1970 : les Dents de la mer (Jaws, 1975), Rencontres du troisième type (Close Encounters of the Third Kind, 1977/80), (5 sur 10 pour Williams, avec Star Wars (1977), les Dents de la mer 2 (Jaws 2, 1978) et Superman (1978))
3 films parmi les 10 plus grands succès des années 1980 : E.T. l'extra-terrestre (E.T.: The Extra-Terrestrial, 1982), Indiana Jones et la dernière Croisade (Indiana Jones and the Last Crusade, 1989), les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark, 1981) ( 5 sur 10 Williams, avec le Retour du Jedi (Return of the Jedi, 1983) et L'Empire contre-attaque (The Empire Strikes Back, 1980))
2 films parmi les 10 plus grands succès des années 1990 : Jurassic Park (1993) et le Monde perdu : Jurassic Park (The Lost World: Jurassic Park, 1997) ( 3 sur 10 Williams, avec la Menace fantôme (Star Wars: Episode I - The Phantom Menace, 1999) )
À l'heure actuelle (2005), cette association totalise 12 films parmi les 100 plus grands succès (21 pour Williams, qui totalise 11 des 30 plus grands succès).
George Lucas envisageait, pour Star Wars, de recourir à une bande originale proche de celle de 2001, l'odyssée de l'espace, à savoir une collection de morceaux préexistants ; il pensait que seules des œuvres classiques pouvaient convenir au genre de la saga épique. À l'image de 2001, il avait songé à un film quasi muet, idée que l'on retrouve dans sa mise en scène, mais Steven Spielberg put le convaincre d'utiliser les talents de Williams. Le conseil fut bon, puisque la bande originale, la meilleure vente jamais réalisée d'une musique de film, transfigure complètement le film : réalisé avec peu de moyens, des acteurs parfois peu convaincants voire réticents (Sir Alec Guinness détestait ouvertement son rôle d'Obi-Wan Kenobi, dont il qualifiait les lignes de banales), des effets spéciaux spectaculaires pour l'époque, le film remporte un succès mondial, en partie grâce à John Williams.
Lucas était attaché à son idée de départ d'œuvres classiques. Il demande à Williams de s'inspirer de Mendelssohn, Tchaïkovski, Holst et surtout Wagner : l'affaire tombe à pic, puisque Williams, alors que l'époque est au rock et à la musique expérimentale, a déjà réintroduit dans ses propres productions le concept du leitmotiv, développé par Richard Wagner et qui avait investi les musiques des films de l'âge d'or (Erich W. Korngold, Miklós Rózsa, Max Steiner), avec les Cowboys (The Cowboys, 1972), la Tour infernale (The Towering Inferno, 1974), les Dents de la mer (Jaws, 1975) par exemple.
Le compositeur déploie et module ses thèmes, les assemble ou les confronte pour figurer au mieux les événements relatés à l'écran


Les cinq ans qui suivent sont marqués par sa musique toujours grandiose et cuivre : Furie (The Fury, 1978), Superman (1978), 1941 (1979), les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark, 1981). Une expérience, Heartbeeps (1981), échoue.

Avec E.T. l'extra-terrestre (E.T.: The Extra-Terrestrial, 1982), Williams obtient son quatrième Oscar. Il travaille sur la Rivière (The River, 1984), Empire du soleil (Empire of the Sun, 1987), Voyageur malgré lui (The Accidental Tourist, 1988), et Né un 4 juillet (Born on the Fourth of July, 1989). En parallèle, il retourne à la télévision. Il continue bien sûr à travailler avec Spielberg : The Movie (1983).

Attiré par une retraite bien méritée, il se fait plus rare, d'autant qu'il vient d'achever Jurassic Park (1993) et une grande partition, la Liste de Schindler (Schindler's List, 1993). Mais son travail trouve un regain d'intérêt (il se voit parodier dans les Simpson (1989)), et il reparaît avec deux Maman, j'ai raté l'avion (Home Alone 1&2, 1990, 1992), JFK (1991), Nixon (1995), Sleepers (1996), Sept Ans au Tibet (Seven Years in Tibet, 1997), Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan, 1998), les Cendres d'Angela (Angela's Ashes, 1999), et enfin la Menace fantôme (Star Wars: Episode I - The Phantom Menace, 1999).

Il renonce alors à ralentir la cadence. Sa collaboration avec Spielberg et Lucas s'intensifie : A.I. Intelligence artificielle (Artificial Intelligence: AI, 2001), les derniers Star Wars (2002, 2005), Minority Report (2002), Arrête-moi si tu peux (Catch Me If You Can, 2002), et le quatrième Indiana Jones. Récemment il a réalisé la bande originale du dernier long métrage de Steven Spielberg, Munich.

Aujourd'hui, il se tourne plus vers ses œuvres concertantes et symphoniques, d'autant qu'il a arrangé son travail pour Harry Potter (2001, 2002, 2004, etc.) pour faire découvrir la musique symphonique aux enfants.

Comme ceux de beaucoup de grands compositeurs classiques, les thèmes de John Williams se caractérisent à la fois par leur évidence et par leur (apparente) simplicité. John Williams a toujours beaucoup aimé et pratiqué le jazz, et l'on retrouve le dynamisme propre à ce genre de musique dans nombre de ses partitions, y compris dans Star Wars.

Son ultime collaboration avec Lucas, Revenge of the Sith (2005), qui marque la fin de la Saga, introduit une tonalité sombre cadrant bien avec l'intrigue tragique de ce film. Certains morceaux s'apparentent à des lamentations : l'orchestre, plutôt que de condamner la "trahison" d'Anakin Skywalker, pleure sur son tragique destin et sur celui de tous ceux qui vont connaître le malheur par sa faute.

Avec John Barry, Jerry Goldsmith, Ennio Morricone, ou encore Elmer Bernstein, il a grandement contribué à populariser l'usage de l'orchestre symphonique dans la musique de film; ses œuvres en ont d'ailleurs fait un genre musical majeur.


1958 : Daddy-O de Lou Place
1960 : I Passed for White de Fred M. Wilcox
1960 : Because They're Young de Paul Wendkos
1961 : Le Dernier Passage (The Secret Ways) de Phil Karlson
1961 : Stark Fear de Ned Hockman
1962 : Bachelor Flat de Frank Tashlin
1963 : Le Seigneur d'Hawai (Diamond Head) de Guy Green
1963 : Gidget Goes to Rome de Paul Wendkos
1964 : À bout portant (The Killers) de Don Siegel
1965 : The Katherine Reed Story (court métrage) de Robert Altman
1965 : None But the Brave de Frank Sinatra
1965 : L'Encombrant Mr. John (John Goldfarb, Please Come Home) de J. Lee Thompson
1966 : Rancho bravo (The Rare Breed) d'Andrew V. McLaglen
1966 : Comment voler un million de dollars (The Plainsman) de William Wyler
1966 : Penelope de Arthur Hiller
1966 : Not With My Wife, You Don't! de Norman Panama
1966 : The Rare Breed de Andrew V. McLaglen
1967 : La Vallée des poupées (Valley of the Dolls) de Mark Robson
1969 : Reivers (The Reivers) de Mark Rydell
1970 : Jane Eyre de Delbert Mann
1971 : Un violon sur le toit (Fiddler on the Roof) de Norman Jewison (adaptation et direction musicale)
1972 : Les Cowboys (The Cowboys) de Mark Rydell
1972 : Tom Sawyer (orchestration et direction musicale) de Don Taylor
1972 : Images de Robert Altman
1972 : L'Aventure du Poséidon (The Poseidon Adventure) de Ronald Neame
1972 : Pete 'n' Tillie de Martin Ritt
1973 : Permission d'aimer (Cinderella Liberty) de Mark Rydell
1973 : Le Privé (The Long Goodbye) de Robert Altman
1973 : The Paper Chase de James Bridges
1973 : Le Fantôme de Cat Dancing (The Man Who Loved Cat Dancing) de Richard C. Sarafian
1974 : Sugarland Express (The Sugarland Express) de Steven Spielberg
1974 : Conrack de Martin Ritt
1974 : Tremblement de terre (Earthquake) de Mark Robson
1974 : La Tour Infernale (The Towering Inferno) de John Guillermin et Irwin Allen
1975 : Les Dents de la mer (Jaws) de Steven Spielberg
1975 : La Sanction (The Eiger Sanction) de Clint Eastwood
1976 : Complot de famille (Family Plot) d'Alfred Hitchcock
1976 : La Bataille de Midway (Midway) de Jack Smight
1977 : Star Wars : épisode IV - Un nouvel espoir (Star Wars: Episode IV - A New Hope) de George Lucas
1977 : Rencontre du troisième type (Close Encounters of the Third Kind) de Steven Spielberg
1978 : Superman de Richard Donner
1978 : Les Dents de la mer 2 (Jaws 2) de Jeannot Szwarc
1978 : Furie (The Fury) de Brian de Palma
1979 : 1941 de Steven Spielberg
1979 : Dracula de John Badham
1980 : Star Wars : épisode V - L'Empire contre-attaque (Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back) de Irvin Kershner
1981 : Les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark) de Steven Spielberg
1981 : Heartbeeps de Allan Arkush
1982 : E.T. l'extra-terrestre (E.T. the Extra-Terrestrial) de Steven Spielberg
1983 : Star Wars : épisode VI - Le Retour du Jedi (Star Wars: Episode VI - Return of the Jedi) de Richard Marquand
1984 : Indiana Jones et le temple maudit (Indiana Jones and the Temple of Doom) de Steven Spielberg
1986 : Space Camp de Harry Winer
1987 : Empire du soleil (Empire of the Sun) de Steven Spielberg
1987 : Les Sorcières d'Eastwick (The Witches of Eastwick) de George Miller
1988 : Voyageur malgré lui (The Accidental Tourist) de Lawrence Kasdan
1989 : Né un 4 juillet (Born on the Fourth of July) d'Oliver Stone
1989 : Indiana Jones et la dernière Croisade (Indiana Jones and the Last Crusade) de Steven Spielberg
1989 : Always (Pour toujours) de Steven Spielberg
1990 : Maman, j'ai raté l'avion (Home Alone) de Chris Columbus
1990 : Présumé innocent (Presumed Innocent) Alan J. Pakula
1990 : Stanley & Iris Martin Ritt
1991 : Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet (Hook) de Steven Spielberg
1991 : JFK de Oliver Stone
1992 : Maman, j'ai encore raté l'avion (Home Alone 2: Lost In New York) de Chris Columbus
1992 : Horizons Lointains (Far and Away) de Ron Howard
1993 : Jurassic Park de Steven Spielberg
1993 : La Liste de Schindler (The Schindler's List) de Steven Spielberg
1995 : Nixon de Oliver Stone
1995 : Sabrina de Sydney Pollack
1996 : Sleepers de Barry Levinson
1997 : Le Monde perdu : Jurassic Park (The Lost World: Jurassic Park) de Steven Spielberg
1997 : Amistad de Steven Spielberg
1997 : Rosewood de John Singleton
1997 : Sept ans au Tibet (Seven Years In Tibet) de Jean-Jacques Annaud
1998 : Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan) de Steven Spielberg
1999 : Star Wars : épisode I - La Menace fantôme (Star Wars: Episode I - The Phantom Menace) de George Lucas
2001 : A.I. Intelligence artificielle (Artificial Intelligence: AI) de Steven Spielberg
2001 : Harry Potter à l'école des sorciers (Harry Potter and the Philosopher's Stone) de Chris Columbus
2002 : Star Wars : épisode II - L'Attaque des clones (Star Wars: Episode II - Attack of the Clones) de George Lucas
2002 : Minority Report de Steven Spielberg
2002 : Arrête-moi si tu peux (Catch Me if You Can) de Steven Spielberg
2002 : Harry Potter et la chambre des secrets (Harry Potter and the Chamber of Secrets) de Chris Columbus
2004 : Le Terminal (The Terminal) de Steven Spielberg
2004 : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (Harry Potter and the Prisoner of Azkaban) d'Alfonso Cuarón
2005 : Star Wars : épisode III - La Revanche des Sith (Star Wars: Episode III - Revenge of the Sith) de George Lucas
2005 : La Guerre des mondes (War of the Worlds) de Steven Spielberg
2005 : Mémoires d'une geisha (Memoirs of a Geisha) de Rob Marshall
2006 : Munich de Steven Spielberg

Concertos :

1969 : Concerto pour flûte et orchestre
1976 : Concerto pour violon et orchestre
1985 : Concerto pour tuba et orchestre
1991 : Concerto pour clarinette et orchestre
1993 : Concerto pour basson et orchestre
1994 : Concerto pour violoncelle et orchestre, créé par Yo-Yo Ma
1996 : Concerto pour trompette et orchestre
1997 : Elegie pour violoncelle et piano, arrangée en 2002 pour violoncelle et orchestre, inspirée de thèmes de Seven Years in Tibet
2000 : Treesong, concerto pour violon et orchestre
2002 : Heartwood, concerto pour violoncelle et orchestre
2003 : Concerto pour cor et orchestre
Célébrations :

1980 : Jubilee 350 Fanfare, pour le 350e anniversaire de la ville de Boston
1986 : Liberty Fanfare, pour le centenaire de la statue de la liberté
1987 : A Hymn to New England
1988 : For New York, composé pour les 70 ans de Leonard Bernstein
1990 : Celebrate Discovery, composé pour le 500e anniversaire de l'arrivée de Christophe Colomb en Amérique
1993 : Sound the Bells !, composé à l'intention de la princesse japonaise Masako
1996 : Summon the Heroes, composé pour les jeux olympiques d'Atlanta
1999 : For Seiji, composé à l'intention de Seiji Ozawa pour son 25ème anniversaire à la direction de l'orchestre symphonique de Boston.
2002 : Call of the Champions, composé pour les jeux olympiques d'hiver de Salt Lake City

Il a été nommé 45 fois aux Oscars et en a remporté 5 (pour Un violon sur le toit, les Dents de la mer, la Guerre des étoiles, E.T. l'extra-terrestre et la Liste de Schindler). Ce qui fait de lui la personnalité vivante la plus oscarisée.
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MessageSujet: Re: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitimeLun 23 Avr 2007 - 21:31

J'le connaissais même pas et il a un meilleur palmarès que les plus grands!!
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MessageSujet: Re: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitimeMar 24 Avr 2007 - 18:29

Je le connait pas mais il a l'air connu
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MessageSujet: Re: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitimeMar 24 Avr 2007 - 21:13

Jle connaissais mais vaguement
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MessageSujet: Re: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitimeJeu 26 Avr 2007 - 2:56

je le connais grâce à Star Wars RESPECT
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MessageSujet: Re: John Williams, le roi des films cultes   John Williams, le roi des films cultes Icon_minitime

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